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L’excellence? Ce n’est toujours que ce que l’on voit

Je dédie cet article à tous les étudiants et étudiantes comme ma fille, qui ont travaillé vraiment très fort pour arriver à passer au travers la session d’école. Que ce soit au primaire, au secondaire, au Cégep ou à l’université, certaines personnes doivent mettre les bouchées doubles, doivent se priver de sortie, d’aller faire du sport ou de voir la famille pour consacrer plus d’heures aux études , parce qu’elles n’ont pas la facilité à l’école que d’autres personnes ont.

Ces personnes sont fières de finir avec un 70 comme note parce qu’elles savent qu’elles ont tout donné. Pour moi un ce n’est qu’un nombre.

Sans vouloir rien n’enlever aux personnes qui ont de la facilité, réussir avec un 90 sans trop avoir étudié et avoir un 70 en ayant tout donné, pour moi la vraie championne c’est la deuxième.

Voici un excellent article à ce sujet écrit par Mario Scott ancien entraîneur d’équipes sportives.

L’excellence? Ce n’est toujours que ce que l’on voit

La perfection n’existe pas pourtant…

Nous vivons dans une société où on nous bombarde partout à coup d’«excellence », dont le synonyme est « perfection », en nous faisant croire que c’est le but ultime que nous devons tous atteindre. D’ailleurs, remarquez tous les qualificatifs utilisés pour à peu près n’importe lequel produit de consommation ou service censé nous rendre plus heureux dans la vie : meilleur, champion, super, or, maximum, la crème, suprême, améliorée, unique, quintessence… Et que dire de tous les concours, les compétitions, les défit et j’en passe… où souvent ce ne sont pas les meilleurs qui gagnent. Et le monde des affaires n’est pas en reste, on mesure le succès en réalisations financières et matérielles.

Né pour être une élite

Plusieurs personnes « naissent » championnes. Je m’explique. Mais auparavant, sachez que je n’enlève rien à ces dernières, rien, surtout pas leur mérite. Cependant, force est d’admettre que pour plusieurs personnes la vie est plutôt de leur côté, elle les a choyés. En ce sens qu’elles sont nées sous une bonne étoile.
Prenons l’exemple d’un jeune athlète et d’une virtuose du piano qui viennent au monde dans une famille bien nantie et dont un ou plusieurs membres ont déjà tracé le chemin en ayant les caractéristiques de leur future carrière. Les chances que le jeune suive ces traces bien établies sont nombreuses. Cette personne élite a l’encadrement financier, moral et psychologique afin de pouvoir atteindre cet important échelon, pour eux, qu’est l’excellence.

L’excellence ce n’est toujours que ce que l’on voit

Bien entendu, il y a tout le parcours sinueux que l’élite a parcouru et dont on ne cesse de parler une fois sur la plus haute marche du podium. Je le répète, je ne leur enlève rien et je ne juge surtout pas leur performance. Cependant, je veux faire réfléchir sur le fait que, souvent, ces champions nés dans l’élitisme de l’excellence avaient tout pour réussir : l’encadrement familial, l’argent, les gênes… Alors, j’écris bien que l’excellence ce n’est pas toujours que ce que l’on voit… Il y a malheureusement des oubliés dont les racines ne sont pas aussi éloquentes. Mais, bravo à tous! Car n’est pas champion qui veut.

Le mérite est à la hauteur du chemin parcouru

Ce que je veux souligner, c’est que le meilleur n’est pas toujours celui que l’on pense.
Le champion, le vrai, n’est pas toujours celui que l’on voit. Ceux et celles qui sont dans l’ombre de leur exploit, dont on n’entend pas souvent parler, sauf, parfois, avec cette expression consacrée : « il ou elle revient de loin »…

J’ai fait un tableau afin d’illustrer mon propos, pour rendre à César ce qui est à César.

excellence

En tant qu’ancien entraîneur d’équipes sportives, j’ai toujours eu, et j’ai encore, beaucoup plus d’admiration pour une personne que l’on attend pas là, à ce résultat, et qui travaille avec acharnement à l’atteinte de son objectif personnel, et ce, dans les limites de ses moyens.
Personnellement, j’ai toujours tenté de créer, d’obtenir, la meilleure chimie possible au sein de mon groupe de joueurs en les sensibilisant à la notion d’équipe. Tout simplement, en faisant comprendre aux joueurs élites et aux moins doués, pour ne pas dire moins nantis que chacun avait sa place et un rôle important à jouer.

Je sensibilisais ceux dont la vie les avait affublés d’un talent inné, qu’ils avaient besoin des autres moins talentueux. Mon exemple étant de comparer le talent sportif reconnu d’un joueur, au talent, par exemple, en dessin d’un autre moins habile en sport… Chacun n’avait pas la même chance. L’un et l’autre n’était pas pour autant dépourvu de potentiel dans la vie. Il s’agissait d’amalgamer les forces aux faiblesses de l’autre. Et le tour était joué!
Le secret, et il demeure toujours d’actualité, c’est d’intégrer tout ce beau monde à un objectif commun en assimilant les distinctions particulières de tout un chacun et en les faisant surtout comprendre et accepter. L’équipe avant l’individu!

C’est dans ce contexte que j’ai pensé à ce tableau il y a une dizaine d’années. Au cours de ma vie, j’ai vite réalisé que certaines personnes atteignaient des sommets personnels remarquables dans leur vie, que ce soit au travail ou ailleurs, en ayant parcouru un chemin, très souvent, pas du tout similaire à une personne dans élite.
J’ai une admiration sans bornes pour ces « minorités invisibles ».
Invisibles? Oui! Parce que l’on en a toujours que pour l’élite éblouissante teintée d’or, en oubliant ces acharnés dans l’ombre du long parcours.

Vous êtes des champions

Je vous dis donc ceci.
Parfois, au lieu de ne pas vous sentir à la hauteur d’une personne que l’on catégorise dans d’élite, que ce soit au travail, dans votre vie, dans les sports, peu importe… persévérez, allez votre chemin en vous faisant confiance, croyez en vos moyens, croyez en vous. Vous aussi vous êtes capable d’atteindre des sommets. Il vous faudra peut-être un peu plus de temps, de recourir à plus de moyens, mais le long chemin parcouru n’en sera que plus méritoire, avec la satisfaction du devoir accompli, lorsque vous atteindrez ne serait-ce que la troisième marche du podium, ou même à côté, mais très près de celui-ci.
Car le mérite, le vrai, est à la hauteur du chemin parcouru. Vous vous direz alors : « Je viens de très loin… » Rappelez-vous-en!

Article écrit par Mario Scott

Merci pour cet article.

Une lettre à ma mère, pour la fête des Mères

Ma chère maman, les années ont passé sans que je les voie, tellement la vie va vite. Aujourd’hui, j’ai 55 ans et il me semble qu’il n’y a pas si longtemps, nous habitions ensemble à Montréal.

Je me souviendrai toujours du jour où à l’âge de 8 ans, je suis revenue à la maison sur la rue Ottawa à Montréal, après avoir passé plusieurs années en foyer d’accueil. Papa et toi, chacun à votre tour, m’avez abandonné. J’avais 3 ans.

Sans que ma mémoire se souvienne de cette journée, mon subconscient, mon corps et chacune de mes petites cellules s’en souviennent. Ma vie venait de basculer. Elle venait de prendre une route très différente. Une route où j’ai dû apprendre à me battre pour avoir ma place dans ces foyers d’accueil. Une route où j’ai dû me protéger sous une carapace. Une carapace si épaisse, qu’il m’a fallu plus de 40 ans pour arriver à trouver une fissure qui me permette de commencer à voir qu’il y avait une personne avec un cœur sous cette carapace.

Aujourd’hui, je n’ai plus ce mécanisme de défense, cependant, je ne peux que le remercier de m’avoir protégée.
J’ai tellement souffert de cet abandon, de ce sentiment de rejet , de ce sentiment d’injustice dans ces foyers d’accueil. Je t’en ai tellement voulu maman de m’avoir abandonné, de ne pas m’avoir aimé assez pour me garder avec toi!

Plusieurs dizaines d’années sont passées depuis mon retour chez toi. J’ai tellement espéré pendant toutes ces années que tu me vois, que tu m’écoutes, que tu m’aimes, que tu me prennes dans tes bras quand j’avais de la peine et que tu m’accompagnes dans ma vie. J’ai tellement attendu ce moment!

Depuis quelques années, j’ai cessé d’attendre. J’ai appris à vivre en étant dans mon cœur. J’ai appris à me libérer de mes souffrances du passé et je vois les choses vraiment différemment maintenant. Continuer la lecture

Lettre à mon corps

Bonjour mon corps, c’est ta fête aujourd’hui et je n’ai jamais vraiment pris le temps de vraiment réfléchir sur tes capacités incroyables ou sur tout ce que tu as fait pour moi depuis ma venue dans ce monde. Au contraire : je t’ai malmené, j’ai contaminé ta propre existence avec de la nourriture malsaine et avec toutes sortes d’abus.
Je ne t’ai tout simplement pas respecté.

Après des années de mauvais traitements et de négligence, tu m’as envoyé beaucoup de signes, que ce soit des maux de tête, des douleurs musculaires ou articulaires, des problèmes digestifs, des douleurs terribles lors de mes règles, de l’insomnie, de l’hypoglycémie ou de l’irritabilité. J’ai totalement ignoré les signes que tu m’envoyais. Les jours devinrent des mois; les mois devinrent des années et je n’ai pas pris le temps de m’arrêter pour t’écouter.

Lors de chaque régime pour perdre du poids, je restreignais mon apport en aliments pendant des semaines et par la suite je te nourrissais trop parce que tu étais carencé et que tu m’envoyais un signal d’alarme de manger puisque c’était urgent.

Je ne t’ai même pas donné un peu d’activité physique. Toutes les raisons étaient bonnes pour ne pas en faire. Je n’ai pas le temps, je suis fatiguée, il fait trop froid, il fait trop chaud, je n’ai pas le goût de bouger seule, etc.

Comme si ce n’était déjà pas assez, il y a aussi eu mes paroles hargneuses. Mes déceptions constantes à ton égard.

Pendant toutes ces années, je te comparais sans cesse à d’autres. J’aurais aimé que tu sois parfait, beau, en forme, super intelligent et très performant, mais moi, je ne prenais pas soin de toi et te nourrissais de n’importe quoi.

Ah j’oubliais, il y a eu aussi toutes ces émotions refoulées, cette colère, cette rancœur que je garde en dedans depuis tellement d’années et qui se retourne contre toi aujourd’hui.

 

Je suis malade

Lorsque tu es tombé malade, je t’en ai voulu, je me demandais pourquoi moi?

Pourquoi ça m’arrive à moi cette maladie? Pourtant, j’ai toujours été une bonne personne, j’ai toujours aidé les autres, bien pris soin de ma famille et de mes amis. Pourquoi tu me fais ça mon corps? Tu me déçois tellement!

 

D’accord, je prends le temps de faire une introspection.

Je réalise que je t’ai oublié. Que je me suis oubliée.

Je t’ai pris pour acquis. J’ai cru que tu me suivrais partout sans dire un mot.

Je prends conscience aujourd’hui de tous les signes que tu m’as envoyés. Je comprends que j’aurais dû prendre une pause pour comprendre tes malaises plutôt que de prendre des pilules chimiques sans réfléchir pour calmer les symptômes.

 

La promesse que je te fais

Je suis désolée de t’avoir pris pour acquis mon corps, et à partir d’aujourd’hui nous formerons une belle équipe toi et moi.

Je te promets de te nourrir correctement, de te donner tout ce que tu auras besoin que ce soit de la nourriture de qualité, ou des suppléments qui t’aideront à remonter ton énergie et à te guérir. Je prendrai le temps de te faire du bien que ce soit avec de la méditation, des massages, en marchant, en libérant mes émotions négatives ou en ayant des pensées positives.

J’ai confiance que nous pouvons aller très loin toi et moi et que si tu as tout ce dont tu as besoin comme nutriments, tu me le rendras au centuple. Je te fais confiance, mon ami.

Je ne peux pas te garantir que je serai toujours parfaite et que je ne dérogerai pas de temps en temps, le temps d’une fête ou d’un plaisir partagé avec des amis, mais la grande majorité du temps, tu seras ma priorité.

Je te jure de toujours être reconnaissante de tout ce que tu feras pour moi à l’avenir et je n’oublierai plus jamais que tu es le transporteur de mes organes vitaux, de mon cœur et de mon âme et que grâce à toi, j’ai de très beaux enfants et une vie heureuse.

Je te remercie du fond du cœur.

Sincèrement,

Moi

Vous sensibiliser à votre corps, parfois négligé,  m’a inspiré ce texte.
Madeleine

 

L’installation du programme amour

Voici un message que j’ai reçu par courriel de Fabienne une connaissance à moi. Je l’ai trouvé tellement intéressant que j’ai décidé d’en faire un article.

– Bonjour comment puis-je vous aider?

– Je voudrais installer le programme « Amour ». Pourriez-vous m’indiquer la procédure, s’il vous plaît ?

– Bien sûr, prête pour l’installation ?

– Oui, mais je n’y connais pas grand chose en programmation. Par quoi commence-t-on?

– Ouvrir votre cœur est la première étape pour l’installation.

– Avez-vous localisé votre cœur, Madame ?

– Oui, je l’ai trouvé. Mais il y a d’autres programmes qui fonctionnent en même temps.

Puis-je continuer l’installation tout de même ?
– Voyons voir. Quels autres programmes fonctionnent présentement dans votre cœur ?

– Et bien, je vois « Blessures-du-passé.Exe », « Mauvaise-estime-de-soi.Exe »,
« Rancune.doc » « Colère.com. ». « Fausse-piété.ca ». « Absence-de-prières.live ».

– Pas de problème, Madame. L’installation de votre programme « Amour » effacera graduellement les « Blessures du passé » de votre système. Continuer la lecture

Les yeux de l’enfance

J’ai comme dicton : «La vie n’a pas besoin d’être compliqué », et un enfant comprend très bien ça puisqu’il n’a pas encore appris à se la compliquer.

Avez-vous déjà pris le temps de regarder un enfant jouer dehors, regarder la télé, ou simplement jouer avec un jouet? Regardez ses yeux, ils sont en communication direct avec son univers.

Il est là, dans le moment présent; dans son monde. Il ne se demande pas ce qu’il fera demain et il ne pense pas à ce qu’il a fait hier.

Non! Il ne se pose aucune question, il vit ce qu’il fait, à 100%.

Voir la vie avec nos yeux d’enfants, c’est d’être connecté avec soi, dans son cœur.

Un enfant ressent les choses, il ne réfléchit pas et n’analyse pas. Un enfant EST ce qu’il est. Continuer la lecture

Sans amoureux, manque-t-il quelque chose à mon bonheur?

Avant de répondre à cette question, j’aimerais donner mon opinion sur ce que c’est que le bonheur pour moi.

Pour moi le bonheur c’est d’abord et avant tout, être bien avec soi-même et être en paix à l’intérieur.

Comment pouvons-nous être heureux et trouver le bonheur avec quelqu’un, si nous ne sommes pas heureux avec nous même. Si nous sommes mal dans notre peau et si les émotions du passé et les blessures de notre enfance, nous hantent encore et envahissent notre vie. Pour trouver le vrai bonheur, il faut faire l’effort de prendre le temps d’analyser sa vie et ses comportements. Et surtout, il faut vouloir profondément être heureux et en paix en dedans.

On dit que la sagesse commence à s’installer dans la quarantaine. En général, c’est vers cet âge que la recherche de paix et de bonheur intérieur commence vraiment à surgir. Avant cette période, souvent, nous sommes beaucoup trop préoccupées à élever les enfants ou à performer au niveau de son travail.

Avoir 40 ans, nous amène souvent à réfléchir sur sa vie et à faire une mise au point sur ce que l’on veut réellement vivre et sur nos besoins réels. C’est souvent dans le milieu de la quarantaine que les questions commencent à surgir et qu’il y a une remise en question.

  • Est-ce que je réussis ma vie?
  • Est-ce que je réussis dans la vie?
  • Est-ce que mes besoins sont comblés?
  • Est-ce que c’est ça que je veux pour le reste de ma vie ?

C’est d’ailleurs pour ça qu’il y a énormément de séparation du couple pendant cette période.

Le bonheur ça ne s’achète pas. Si nous ne le trouvons pas à l’intérieur de nous, nous ne le trouverons pas nulle part ailleurs.

Alors pour répondre à la question de cet article, sans amoureux, manque-t-il quelque chose à mon bonheur ?

Je répondrai qu’un amoureux est un supplément à mon bonheur, qu’il participe à ce bonheur, mais que le bonheur ne se trouve pas en lui, ni en nous, mais bien en moi.
Être seul sans amoureux ne veut pas dire avoir une vie terne et sans plaisir. Le partage avec les amis et la famille sont importants et comblent une grande partie de ce manque.

Je connais des célibataires qui se disent heureux, parce qu’ils sont toujours très occupés et en demande. Cependant, si je creuse un peu et je pose les bonnes questions ou plutôt les vraies questions, qui s’adressent à leur cœur et non à leur tête, il y a presque toujours des réponses du genre, je suis bien, mais ça me manque de ne pas pouvoir partager avec un ou une partenaire.

PARTAGER! Voilà pour moi le bonheur. C’est le partage.
Le partage des petits bonheurs quotidiens.
C’est de me réveiller le matin avec mon partenaire de vie.
C’est de prendre un café relaxe le matin en écoutant les oiseaux.
C’est une niaiserie qui me fait pouffer de rire.
C’est une bonne marche main dans la main.
C’est de faire des activités ensemble.
C’est de voir amis et famille.
C’est de voyager ensemble.
C’est de se faire plaisir et…
C’est d’avoir hâte à la fin de journée de travail pour retrouver mon amoureux.

Et surtout, tout ceci dans la simplicité, la paix et l’harmonie.

Voilà pour moi ce qu’est le bonheur. Pas trop compliqué, n’est-ce pas?

Est-ce que ce genre de bonheur vous manque ?

Alors, malgré que je suis une femme épanouie personnellement et professionnellement et que la vie est bonne pour moi. Je crois en une relation homme/femme très harmonieuse.

Alors, sans amoureux, manque-t-il quelque chose à mon bonheur ?

Je dois être honnête avec vous et répondre oui à cette question. Peu importe ce que la vie me donne, si je ne peux pas le partager avec un complice, il me manquera toujours un petit quelque chose à mon bonheur.

Et vous, croyez vous que l’on peut être heureux à 100 % si on est seul sans amoureux ?

Donnez-moi votre opinion dans les commentaires.

La petite vieille en moi

Pour amorcer un changement dans notre vie, il nous faut souvent un moteur, un levier, quelque chose qui nous pousse à passer à l’action.

Un jour plutôt qu’un autre.

Là, maintenant.

Il nous faut alors un élément déclencheur qui nous tire de notre inertie et qui nous projette, en quelque sorte, dans un autre engrenage.

Cet élément déclencheur peut-être bien des choses. Il peut être un évènement marquant comme la mort d’un ami ou d’un parent ou encore la maladie d’un de nos proches ou notre propre état de santé. Mais, il peut-être aussi la rencontre avec quelqu’un qui nous impressionne ou que nous admirons, un film qui nous bouleverse, un roman qui nous inspire, un moment de méditation au sommet d’une montagne, un rêve qui nous a secoués, un cheminement personnel avec un thérapeute, un voyage particulier qui nous entraîne ailleurs, une soirée avec une bonne copine. Continuer la lecture